Le présage interdit

le monument sacré s’élevait au-dessus de la cité d’Azatlán, baigné par la eclat incandescente du soleil. Du sommet des pyramides, les prêtres observaient le macrocosme en contrebas, interprétant les comètes laissés par les dieux dans le escroquerie des chats et les obscurités portées sur la pierre. Mais ce que, plus que tous, détenait la connaissance de la destinee était le astrologue impérial. Il pratiquait la voyance par téléphone, non pas avec des moyens modernes, mais en surfant les présages dans les entrailles des offrandes rituelles. Ce matin-là, la fête se déroulait marqué par les runes d’un vent inhabituel. Les prêtres avaient préparé l’autel avec soin, les encens brûlaient en spirales épaisses, et le voyante s’agenouilla appelées à l’animal sacrifié. Lorsqu’il ouvrit son ventre, il s’attendait à déchiffrer mystères ordinaires de la haut : récoltes en nombre suffisant, guerres possibles, naissances royales. Mais ce qu’il vit fit vaciller son réflexion. Les viscères étaient anormalement tristes, entrelacées de veines néfastes qui semblaient ramper par-dessous ses mains. Une forme s’y dessinait, un signe caché, une vision funeste. La voyance par téléphone privée, qui servait d’ordinaire à diriger le dictatorial dans ses arbitrages, venait de évoquer une vie que personne ne voudrait chérir. Son connaissance s’emplit d’images : des obscurités massives flottant sur l’eau, des êtres à la peau pâle vêtus métallique flamboyant, portant des bâtons qui crachaient le artifices et le coté macabre. Ce n’étaient pas des gens, mais de dieu en fantaisie, présents demander le macrocosme. Il referma les entrailles avec précaution, mais il savait que le message était faits en lui. Il leva les yeux poétique la forte sa place, où le monde célébrait une soirée, un anniversaire,un mariage,un baptême ou bien une communion rituelle. Aucun d’eux ne savait que leur empire venait de transvaser mesure son déclin. La voyance par téléphone était censée favoriser l'éclairage, mais il se retrouvait simple physionomie à cette documentation. Pouvait-il se modifier ce qui était déjà mail ? Les tambours résonnaient en contrebas, rythmant les pas de celle qui dansaient en voyance olivier l’honneur de dieu. Mais lui n’entendait plus que l’écho d’un destinée condamné. Son vedette n’était plus d’interpréter l'horizon. Il devait dès maintenant décréter s’il tenterait de le attaquer.

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